Si vous êtes sur le marché pour une nouvelle maison, vous avez probablement rencontré le terme “ossature bois” Mais qu’est-ce que l’ossature bois, et en quoi diffère-t-elle des autres méthodes de construction ? L’ossature en bois est une méthode de construction traditionnelle qui remonte à plusieurs siècles. Elle utilise des bois lourds pour former la structure de la maison, et des panneaux de bois plus légers, appelés bardages, sont utilisés pour créer les murs. Ce type de construction offre plusieurs avantages par rapport aux autres méthodes. Explorons-en quelques-uns.
Rapidité et rentabilité
L’un des plus grands avantages des maisons à ossature bois est qu’elles peuvent être construites rapidement et de manière rentable. Comme tous les composants sont prédécoupés hors site dans une usine de fabrication, il y a beaucoup moins de travail sur place qu’avec d’autres types de construction. Ainsi, elles peuvent être construites dans des délais beaucoup plus courts que les maisons conventionnelles, avec moins de personnes impliquées dans leur construction. De plus, comme toutes les pièces sont prédécoupées et prémesurées avant d’être livrées sur le site, il y a beaucoup moins de risque d’erreur humaine entraînant des retouches ou des retards coûteux.
Durabilité
Les maisons à ossature bois sont incroyablement durables grâce à leurs propriétés d’isolation naturelle qui protègent contre les températures extrêmes tout en réduisant les coûts énergétiques pour chauffer ou refroidir votre maison. Contrairement à d’autres matériaux utilisés dans la construction traditionnelle, comme le béton ou l’acier, qui nécessitent des quantités importantes d’énergie dans leur processus de production, le bois nécessite très peu d’énergie tout au long de son cycle de vie, ce qui en fait une option écologique pour ceux qui recherchent une solution de construction à faible impact.
Le bois étant une ressource naturellement renouvelable, s’il est géré de manière responsable, il peut contribuer à réduire nos émissions de carbone en séquestrant le CO2 de l’atmosphère dans ses fibres au cours de son cycle de croissance plutôt que de le libérer lorsqu’il est coupé comme c’est le cas avec les matériaux non renouvelables tels que le béton ou l’acier.